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Page:De Staël – La Révolution française, Tome I.djvu/88

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quelle que soit son opinion politique. M. Necker se flattoit donc de retarder, du moins encore pendant plusieurs années, par l’ordre dans les finances, la crise qui s’approchoit ; et, si l’on avoit adopté ses plans en administration, il se peut que cette crise même n’eût été qu’une réforme juste, graduelle et salutaire.