Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome I, 1807.djvu/408

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
404
CORINNE OU L’ITALIE

unit intimement les hommes entre eux, quand l’amour-propre et le fanatisme n’en font pas un objet de jalousie et de haine. Prier ensemble dans quelque langue, dans quelque rite que ce soit, c’est la plus touchante fraternité d’espérance et de sympathie que les hommes puissent contracter sur cette terre.