Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome I, 1807.djvu/421

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NOTES
DU PREMIER VOLUME

Page 23, ligne 14.

(1 Ancone est à peu près à cet égard dans le même dénuement qu’alors.

Page 36, ligne 20

(2 Cette réflexion est puisée dans une épître sur Rome, de M. de Humboldt, frère du célèbre voyageur, et ministre de Prusse à Rome. Il est difficile de rencontrer nulle part un homme dont l’entretien et les écrits supposent plus de connaissances et d’idées.

Page 64, ligne 24.

(3 Il faut excepter de ce blâme, sur la manière de déclamer des Italiens, d’abord le célèbre Monti, qui dit les vers comme il les fait. C’est véritablement un des plus grands plaisirs dramatiques que l’on puisse éprouver, que de l’entendre réciter l’épisode d’Ugolin, de Francesca di Rimini, la mort de Clorinde, etc.