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CORINNE OU L’ITALIE.

moins tendres. Ah ! si j’avais deviné le sentiment plein de délicatesse qui l’empêchait de consentir à ce que sa sœur me captivât, quand il ne la croyait pas faite pour me rendre heureux ; si j’avais prévu surtout quels événemens allaient nous séparer pour toujours ! mes adieux auraient satisfait et son ame et la mienne.