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PENSÉES.


CVI.


Le désordre de la conduite devient la source d’une foule de maux, non-seulement parce qu’il rompt une partie des liens qui nous attachent à la société, mais parce qu’étant contraire à ce qui doit être, il nous met sans cesse, à nos yeux et à ceux des autres, dans une fausse position.


CVII.


L’ordre découle naturellement de l’ordre ; il en est une conséquence continuelle. C’est ce qui fait que quand les premières bases en sont posées, il s’établit dans toutes ses parties bien plus aisément qu’on ne le croit.


CVIII.


Il faut l’avouer à la honte de la morale, il y a dans