Page:De la Houssaye - Pouponne et Balthazar, 1888.djvu/217

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En sortant il tendait la main au jeune homme et s’inclinant devant son ancienne flamme :

— Adieu madame Périchon, dit-il.

— Adieu missié Placide, répondit elle en lui faisant sa plus belle révérence.

FIN.