Page:Defoe - Robinson Crusoé, Borel et Varenne, 1836, tome 1.djvu/167

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sur un brasier, et je me tins le nez au-dessus aussi près et aussi longtemps que la chaleur et la virulence purent me le permettre ; j’y restai presque jusqu’à suffocation.

Durant ces opérations je pris la Bible et je commençai à lire ; mais j’avais alors la tête trop troublée par le tabac pour supporter une lecture. Seulement, ayant ouvert le livre au hasard, les premières paroles que je rencontrai furent celles-ci : — « Invoque-moi au jour de ton affliction, et je te délivrerai, et tu me glorifieras. »