Page:Defoe - Robinson Crusoé, Borel et Varenne, 1836, tome 1.djvu/224

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

Rédaction du Journal.



ais ce dont je pouvais faire usage était seul précieux pour moi. J’avais de quoi manger et de quoi subvenir à mes besoins, que m’importait tout le reste ! Si j’avais tué du gibier au-delà de ma consommation, il m’aurait fallu l’abandonner au chien ou aux vers. Si j’avais semé plus de blé