Page:Defoe - Robinson Crusoé, Borel et Varenne, 1836, tome 1.djvu/256

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Le Vestige.



uant à mon visage, son teint n’était vraiment pas aussi hâlé qu’on l’aurait pu croire d’un homme qui n’en prenait aucun soin et qui vivait à neuf ou dix degrés de l’équateur. J’avais d’abord laissé croître ma barbe jusqu’à la longueur d’un quart d’aune ; mais, comme j’avais des ciseaux et des