12 décembre. — Dîné chez la princesse avec Mme Viardot.
14 décembre. — Dîné chez Mme Pierret avec Durier et Feuillet[1].
15 décembre. — Dîné chez Chabrier avec le général Alexandre, Poinsot, M. Harmand que j’aime beaucoup, M. Joly de Fleury et le sculpteur sicilien que protège Chabrier.
Harmand me dit, à propos de la vigne dans la Gironde, que les pertes considérables consistent en ce que les vieux ceps, qui remontent souvent à cinquante ans, ne peuvent résister à la maladie ; ces souches produisent à la vérité très peu, mais la qualité des grappes est excellente. Il faudra donc beaucoup d’années pour que les nouvelles souches produisent d’abord, mais surtout arrivent à approcher de cette qualité.
16 décembre. — Écrit à Chatrousse[2].