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Page:Delacroix - Journal, t. 3, éd. Flat et Piot, 3e éd.djvu/446

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JOURNAL D’EUGÈNE DELACROIX.

fait pas heureusement succomber dans leur court passage : la vue des méchants comblés des dons de la fortune ne doit point les abattre ; que dis-je ? ils sont consolés souvent en voyant l’inquiétude, les terreurs qui assiègent les êtres mauvais, leur rendent amères leurs prospérités. Ils assistent souvent, dès cette vie, à leur supplice. Leur satisfaction intérieure d’obéir à la divine inspiration est une récompense suffisante : le désespoir des méchants traversés dans leurs injustes jouissances est…[1].

  1. Inachevé dans le manuscrit.