48 ASTRONOMIE MODERNE. soù A= , 579> (f) = (^X="-*. 0=(f X=4 = -- ordonnons l’opération A = i5 7 g ôtez les 4> ^ — 3 ôtez les 7, c = 4 postante... 3 + 2& = 6 -- /( 6’ = l6 ôtez les 7 4 == L." Voici maintenant l’opération, suivant ma formule p. ig. — (A — 5) — 1576 ôtez les 7 — 197° . . — 5 + L = 7 ou, si l’on veut, — (A-f-4). i$83
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L = (A+4) ne donne pas plus de peine à écrire que A ; prendre le quart de A est plus court que d’en bannir tous les 4 pour avoir b; ôter tous les 7 de la somme n’est pas plus long que de les ôter de A; faire l’addition de mes deux premières lignes n’est pas plus long que de former 2b -f- l^c. Mon addition est un peu plus longue que celle de Z--2b--^c j mais ôter tous les 7 de la somme a5 , est au moins aussi lc-Dg que de faire 7 — 5=4* Ainsi mon opération est un peu plus courte, et elle tient moins de place, elle se range mieux sur le papier. Il faut avouer, au reste, que la différence n’est pas grande; elle sera plus sensible pour le Calen- drier grégorien. Soit de même (j)==*, (7),= ^ et de plus, (f) ( =£’, (|) f = c’ ; S est la partie séculaire du nombre A. Alors L’ — Q J~ Q ( b ~*~ l) )~*~4 c +6c ^ s C’est donc au moyen de cinq formules qu’on détermine L’. Soit A=42o5, A = 4203 S = 42 ôtez les 4, b = 3 . b’ = 2 les 7, c = 3 c’ = o + 2(b + b’).... 4c... 6c’.... ôtez les 7 . . . . 1 10 1 2 o 23 2=L=R