Page:Delambre - Histoire de l'astronomie moderne, tome 1, 1821.djvu/140

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54 ASTRONOMIE MODERNE. Ma méthode ne sera jamais plus longue qu’elle n’est ici, puisque j’ai calculé (~^^ > j e savais être nul, et qui le sera jusqu’en l'an 4'99> celle de M. C. ne sera jamais plus courte, puisque d et e se trouvent ici o. J’avoue ne pas concevoir les motifs qui font que M. C. donne si hautement la préférence à ses formules. Prenons un exemple dans l’autre limite. Soit A = 1945, cm = e = n, = 3 = *,

4 A- 

Qf) = 5 = y. b+V — 6 11N = 66 3. S = 5 7 8. S = l52 a(b+b’) =? Ta — 5 — 1 1 9. 4<? = 16 52" 40 6c’ = 3o - (a - - 3 1 const. . . . = 1 4- — -1- 1 54 d 29 ôlez les 7 . . . 3 = L ôtez 3o, 24 = E e + 5 174 3o const. — 9 3o — E’ = ~~6 = 6 ’ Pâques, 2 5 avril 1 180 + 23 ôlez les 7 . . . 5 = e 2 9 ôtez 3o , 29 = d. Suivant nous , + (19— l6 ) = + 3, F = 0, (, 9 -.i5) = 4 1 4 0 £ = 4-

19 A ^ 

4- (A4-0 = + 1944 (N— i).io = 5o 4- 485 ôlez 3o. . . 26 — 3_ — b — 3 4- 2426 c ■4- 1 ôtez les 7, R== 4- 4 £ = 24. 7 — R — 3 24