Page:Delambre - Histoire de l'astronomie moderne, tome 1, 1821.djvu/522

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456 ASTRONOMIE MODERNE. sinGDS 8,5553i93 DSG = 7 o°44’ if5 C. sinDSG o,o 2 5oi83 Ici l’excentricilé est beaucoup trop forte. GS = 0,024007 8,3803376 Kepler... o,025 16, ce qui est pis encore. DS se dirige en n s 2/f o’ 25" DGS 3.17.57.48 8. 6. 2 . 37. DS 11.24. o.25 SD «... 5.24. 0.25 DSG = 2.10.44.18 apogée 3.1 3. 16. 7 mais il est véritablement en 3. 6 erreur 7.16. Il est donc clair que cette méthode ne peut donner aucune préci- sion ; elle ne peut déterminer ni l’excentricité, ni le lieu de l’apogée ; mais elle a toujours donné l’excentricité beaucoup moins grande que celle de Tycho. Nous avons eu successivement o,oi53o et 0,02407 la somme 0,03937 la moitié o,oi8685 Nous avons encore trouvé o,oi83 7 . Tout nous porte donc à conclure, avec Képler, qu’elle diffère peu de 0,018, et plus sûrement encore, qu’elle n’est que la moitié de l’ex- centricité ordinaire des astronomes de ce tems. Dans le fait, l’excen- tricité, pour le tems de Képler, n’était guère que 0,0168, et bientôt il va trouver 0,01 655, qui est un peu trop faible. I/analogie avait conduit Képler à la bissection de l’excentricité de la Terre, qui faisait seule exception à la règle générale; n’ayant aucune mesure sur laquelle il pût compter des diamètres du Soleil, il a cherché à démontrer la vérité de sa conjecture par une méthode assurément fort ingénieuse, mais qui exigerait des observations parfaites, des tables o!ejà fort approchées, des observations difficiles à rassembler et auxquelles il faut, quoi qu’on fasse, appliquer des réductions un peu incertaines; mais après avoir suffisamment prouvé sa bissection, il a voulu que sa