Page:Delarue-Mardrus - Horizons, 1904.djvu/123

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Ou plutôt, je rendrai cet hommage à la mort
De la voler, sachant que, du fond de la boue,
Tout un corps s’est donné pour gonfler cette joue
Florale d’une rose, apte à tenter encor…

— Lors je les presserai, charnelles et funèbres
Sur ma bouche, en songeant que leur suprême odeur
Se venge de la lourde et sourde puanteur,
Et leur folle clarté de toutes les ténèbres !