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Page:Delarue-Mardrus - Horizons, 1904.djvu/203

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Et cela suffit sans doute
D’être une femme tendre au bras de son ami,
Qui marche dans la vie en rêvant à demi
Sans plus sentir ses pieds se meurtrir sur les routes…

— Mais peut-être qu’il vit encore, ton désir
D’aller vers les couchants où saigne l’Au delà ?
Car l’âme qui palpite en toi, folle ou paisible,
Tu ne la connais pas ! Tu ne la connais pas !