Page:Delarue-Mardrus - Horizons, 1904.djvu/63

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Et sans doute oublierons-nous un peu
À la longue, au bout de cette herbe tranquille,
De ces beaux peupliers en file,
De cette Seine au tournant bleu,
Au bout de tant d’odeurs, au bout de tant de fleurs
Où l’heure change de couleur,
— Monstrueusement belle et proche — notre ville ?