Page:Delarue-Mardrus - Horizons, 1904.djvu/65

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


— Le vent ! Le vent ! Voici que le monde s’écroule !
Ivre d’un souvenir de houle,
D’écume, d’embrun et de sel,

Je foncerai, les yeux fermés, sur la tempête,
Pour croire que je troue et brise avec ma tête
Le tourbillon universel !