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Page:Delarue-Mardrus - L’hermine passant, 1938.djvu/11

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l’hermine passant

« Même mariée, remarque intérieurement la fine demoiselle, elle n’a pas perdu ce tic de baisser tout le temps les yeux comme une vierge médiévale. Je crois que nous ne saurons jamais qui elle est exactement. »