Page:Delarue-Mardrus - Toutoune et son amour.pdf/130

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mant une cigarette. Elle s’était beaucoup poudrée pour essayer de cacher la trace de ses larmes. Et ses cheveux étaient lisses.

— Écoute, ma Toutoune, dit-elle tout doucement, maintenant que ton père est revenu, tu vas pouvoir retourner à Gourneville. Je ne suis plus toute seule, maintenant. Et Paris, tu sais, ce n’est pas du tout sain pour les petites filles. Nous allons envoyer une dépêche à la mère Lacoste, et elle viendra te chercher demain.