Page:Delassus - L'américanisme et la conjuration antichrétienne, 1899.djvu/138

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l’autre tombent pour faire place à cette « Jérusalem du nouvel ordre, saintement assise entre l’orient et l’occident, qui doit se substituer à la double cité des Césars et des Papes. »

Le comble serait que des ministres du clergé catholique, sous l’empire d’illusions aussi décevantes que généreuses, vinssent apporter un concours quelconque à cette conspiration que l’on peut appeler universelle, et contribuer pour quelque part à ébranler la fermeté d’adhésion que l’âme chrétienne doit avoir à la Sainte Eglise catholique, seule arche de salut.

M. Gouorenot des Mousseaux, dans son livre si documenté : Le Juif, le Judaïsme et la Judaïsation, consacre une page à énumérer les supériorités des juifs, cette race divinement douée et divinement déchue, qui, dans son ensemble et sauf d’honorables exceptions, emploie au mal les dons qu’elle a reçus, comme le font les mauvais anges.

Il dit : « … Supériorité surtout, — et c’est là l’une des plus insignes aux yeux de l’observateur sagace, — supériorité sans égale à cacher, soit dans le conseil réfléchi des rois, soit dans le conseil tumultueux des peuples,