Page:Delboulle - Anacréon et les Poèmes anacréontiques, 1891.djvu/114

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-9«- ijjLaîvex’ 'A)<x(xéwv ts 5 ;(<*) XeuxoTto’jç ’OpéoTYjç, Taç |XT,T£pa; XTavovxeç ’ èYÙ) ôe (xrjSeva XTôt;, TCltOV ô’ èpuOpov oîvov ôéXo), OÉXto [xavfjvai. 10 I|xa:ve6’ 'HpaxXT); Ttptv ÔEivY|V xXovôiv çapéxpTjv xal TO^OV ’IçtTElOV, èftaîvETO Ttptv Ata; {jlet’ à<T7tlSo; xpaSatvtov 15 Tf,v "ExTopo; (jLà-/atpav " èyà) 6 ’ exfov x-jTieXXov xal (7T£[X(xa TOÛTO "/aÎTatç, O’j To^ov, où {xa-/atpav, ÔéXu), ÔÉXu) (xavf,vai. QU’IL NE VEUT D’AUTRES ARMES QUE LE VIN Or fus permettez que Je boive A longs traits, & que je déçoive V. 5. — U-jxôT.orj;, celui qui a les pieds blancs : épithète singulière à laquelle quelques commentateurs ont substitué : Auxôitou;, celui qui a des pieds de loup, les exilés et les bannis étant souvent comparés à des loups. Dans leurs traductions latines de cette ode, Henri Estienne et Helias Andréas laissent, comme on le verra, cette épithète de côté.