Page:Delboulle - Anacréon et les Poèmes anacréontiques, 1891.djvu/63

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EIS ATTIN TOT ATTOV. (B. 11.)

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QU’IL VEUT FOLASTREMENT BOIRE

Atys l’effeminé, De rage espoinçonné Hurle avecques Cybelle, Et s ’eschauffe après elle : Et ceux-là qui ont beu Seulement un bien peu De l’eau du Cler parlante, D’une fureur piquante Du Dieu porte-laurier Commencent à crier :