Page:Delille - Les Jardins, 1782.djvu/86

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Je redemandois Laure à l’écho du vallon,
Et l’écho n’avoit point oublié ce doux nom.
Partout mes yeux cherchoient, voyoient Pétrarque et Laure,
Et par eux ces beaux lieux s’embellissoient encore.