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tez jamais avec elle, dit-elle d’un ton suppliant.
— Je ne la crains pas, vous dis-je, ma bonne Mathurine… Allons, je ne veux pas vous retenir avec votre pauvre tête malade. Bonsoir, Mathurine.
— Bonsoir, mademoiselle. Je ne sais plus guère prier, mais je vais tout de même dire pour vous un Ave à la bonne Vierge… Seulement ne jouez pas avec le feu, mademoiselle Alix.