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Page:Delly - Les deux fraternités, ed 1981.djvu/220

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LES DEUX FRATERNITÉS

— Ah ! oui ! Vous êtes si forte, vous aussi ! Laissez-moi faire, je vais arranger tout cela. Et nous allons bien prier pour que la petite guérisse.

— Mes filles vont aujourd’hui à Notre-Dame des Victoires, elles mettront un cierge à l’intention de la jeune malade, ajouta M. de Mollens en tendant la main à Micheline.

— Merci, monsieur le marquis ! merci également de vous être dérangé ainsi, d’avoir pris tout l’ennui de répondre à cet homme ! Que Dieu soit béni de nous avoir donné dans nos épreuves de si vrais, si dévoués amis !