Page:Delrieu - Artaxerce, Giguet et Michaud, 1808.djvu/106

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Qui ? moi ! pour obéir aux fureurs de mon père,
Quand j’adore la sœur, j’immolerais le frère !
Non ! non ! je dois mourir et presser mon trépas,
Pour arrêter le cours de ces assassinats !
Vivant, de tant d’horreurs je deviendrais complice :
Je conserve ma gloire en marchant au supplice.
C’en est fait : il est temps de subir mon arrêt ;
Dans l’éternelle nuit j’emporte mon secret ! (25

(Il sort avec les gardes.)
fin du quatrième acte.