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Page:Delthil - Framès, 1866.djvu/10

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FRAMÈS




Belles comme les séraphins de Klopstock, terribles comme les diables de Milton.

Diderot.


I


Sous les feux du couchant, quand l’horizon s’irise,
Avez-vous vu noyé dans une brume grise,
Avec ses hauts clochers, ses grands palais, ses tours,
Paris, ce vieux géant aux immenses contours ;