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Si la torche s’éteint entre ses doigts fiévreux,
Il s’égare éperdu sous un ciel ténébreux.


XIII


L’on vit alors Framès, plein d’ardeur dévorante,
Mener avec fracas cette vie écœurante
De soupers fins, de bals, de courses, de paris,
Que mènent de nos jours les gandins de Paris.
Superbe conquérant dont l’humeur vagabonde,
Pour ravir un baiser, eût embrasé le monde,
Satanique railleur, dont les regards si doux
Faisaient pâmer d’amour Elvire à tes genoux ;