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A CEUX QUI SOUFFRENT


C’est à vous, ô mes frères et sœurs en humanité, à vous tous que le fardeau de la vie a courbés, à vous que les âpres luttes, les soucis, les épreuves ont accablés, que je dédie ces pages. C’est à votre intention, affligés, déshérités de ce monde, que je les ai écrites. Humble pionnier de la vérité et du progrès, j’ai mis en elles le fruit de mes veilles, mes réflexions, mes espérances, tout ce qui m’a consolé, soutenu dans ma marche ici-bas.

Puissiez-vous y trouver quelques enseignements utiles, un peu de lumière pour éclairer votre chemin. Puisse cette œuvre