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Page:Denne-Baron - Dithyrambe, 1824.djvu/23

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NOTES

nistres étrangers, et autres personnes de la plus haute distinction, que par la pompe, l’éclat et la somptuosité avec lesquels le chapitre célèbre toutes ses cérémonies religieuses. LL. MM. et LL. AA. allèrent adorer le corps et l’épée du saint roi Ferdinand, donnant l’exemple de la piété, du recueillement et de la reconnaissance pour le Dieu de bonté qui nous a rendu la paix. Lorsque LL. MM. retournèrent à leur palais, les rues et les places par lesquelles elles devaient passer étaient tellement remplies de monde, qu’il était difficile d’y circuler.

À midi, toutes les corporations civiles et militaires de cette ville furent admises au baise-mains du roi. S. M. a bien voulu accorder au chapitre ecclésiastique la précieuse faveur de lui être présenté le premier. Le soir, il y eut une brillante illumination que LL. MM. sont allées voir en voiture, parce qu’il était difficile de traverser une foule immense de musiciens et d’autres habitants, tous avides de contempler les traits de notre monarque, qui a reçu dans son passage les démonstrations réitérées de respect, de fidélité et d’amour.


FIN.