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et d’une façon décisive, par M. E. Gallien[1]. Voici en substance son intéressant travail.
La première publication de Point de lendemain remonte à 1777, dans le numéro de juin des Mélanges littéraires ou Journal des Dames, dédié à la Reine[2]. Il parut en tête de ce numéro, et était signé des initiales M. D. G. O. D. R ; c’est à dire : M. Denon, gentilhomme ordinaire du Roi. Dorat, rédacteur en chef, mit en note que la rédaction de ce conte lui avait « paru piquante, spirituelle et originale. »