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de ces principes ; je les trouvais sublimes, et je me sentais déjà une disposition très prochaine à l’amour de la liberté.
La belle nuit, me disait-elle, les beaux lieux ! Il y a huit ans que je les avais quittés ; mais ils n’ont rien perdu de leurs charmes ; ils viennent de reprendre pour moi tous ceux de la nouveauté. Nous n’oublierons jamais ce cabinet, n’est-il pas vrai ? Le château en recèle un plus charmant encore ; mais on ne peut rien vous montrer : vous êtes comme un enfant qui veut toucher à tout ce qu’il voit, et qui brise tout ce qu’il touche. Un mouvement de curiosité, qui me surprit moi-même, me fit promettre de n’être que ce que l’on voudrait. Je protestai que j’étais devenu bien raisonnable. On changea