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Point de lendemain reparut une seconde fois, en 1780, dans un tome de la collection des Œuvres de Dorat, en tête duquel figurent les Lettres d’une chanoinesse de Lisbonne[1]. Cet écrivain venait de mourir. Son éditeur dit en note que ce conte était tiré du Coup d’œil sur la littérature.

La suppression des initiales du nom et du titre de Denon à partir de la seconde publication, son éloignement de Paris, la mort de son ami, toutes ces circonstances s’étaient réunies pour qu’en moins de trois ans, Dorat, d’éditeur, se trouvât transformé en auteur de Point de lendemain, pour son libraire, pour le public, et pour sa famille. Un correspondant de l’Intermédiaire

  1. Paris, Delalain, 1780, in-8.