Page:Des Essarts - Paris nouveau, 1857.djvu/24

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

III


Cette Ombre que j’évoque est l’Ombre du Passé,
Fiction à la fois étrange et véritable,
L’homme qui par amour pour un spectre glacé,
Contre un progrès naissant pousse un cri lamentable,
Au milieu des vivants pèlerin trépassé.