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ROMANCES.

Sèche-les sur mon sein par un rayon de joie ; Et que je vive assez pour lui rendre ses fleurs. Une heure, une heure, amour ! une heuresansalarmes,

Avec lui, loin du monde ; après ce long tourment, Laisse encor se mêler nos regards et nos larmes ; Etsi c’est trop d’une heure…un moment ! un moment.

Rends-moi le son chéri de cette voix fidèle :

Il m’aime, il souffre, il meurt, et tu peux le guérir ! Que je sente sa main, que je dise : c’est elle. Qu’il me dise : je meurs. Alors, fais-moi mourir. Une heure, une heure, amour ! une heuresans alarmes, Avec lui, loin du monde ; après ce long tourment, Laisse encor se mêler nos regards et nos larmes ; Etsic’est tropd’une heure…un moment ! un moment !