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ROMANCES.

On puisa dans leur sein ces odorantes larmes,
Qui rappellent l’été dont le règne est si beau !

Ainsi le souvenir rend à mes rêveries,
Les chants du rossignol que j’écoutais gémir.
Et ma chaîne s’étend jusqu’aux rives fleuries,
Où je crois voir couler le Calme Bendemir.