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Je le revois partout où de mon âme
S’attache encor la mourante langueur :
Quand le jour sur mes yeux ne répand plus sa flamme,
Je le revois toujours : n’est-il pas dans mon cœur ?
Mon doux enfant ! ma plus vive tendresse !
Quel autre amour me tiendrait lieu de toi ?
De te garder, mon fils, je ne fus pas maîtresse ;
Mais ta fidèle image, oh ! comme elle est à moi !