Page:Desbordes-Valmore - Œuvres complètes, tome 2, Boulland, 1830.djvu/113

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LA FLEUR RENVOYÉE


Adieu, douce pensée,
Image du plaisir !
Mon âme est trop blessée,
Tu ne peux la guérir.
L’espérance légère
  De mon bonheur
Fut douce et passagère,
  Comme ta fleur.

Rien ne me fait envie,