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Paul ! appelle-moi Paul, cria-t-il en le serrant avec passion, je serai bon comme toi.
— Au revoir ! Paul. Tu te ressouviendras de moi comme d’un courageux ami, répondit-il en passant sa main avec une douceur triste sur les traits consolés de Paul. — Tu verras ! dit l’enfant. Et depuis, Paul ne tua pas une mouche.
Il n’y a créature si petite ni si abjecte qui ne représente la bonté du Créateur.
FIN DU TOME PREMIER.