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Page:Desbordes-Valmore - Le Livre des petits enfans, 1834.pdf/336

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l’en séparait ; c’était au bout d’une longue allée d’arbres, où ces enfans jouaient à tous leurs jeux bruyans. Ils choisissaient de préférence cette place à tous les coins frais et odorans du jardin dans le seul plaisir de lever leurs petits nez vers la grande fenêtre inflexiblement fermée, et de regarder à travers tout ce qui leur eût fait des jouets si amusans ! vous eussiez dit des jeunes chats alentour d’une volière.

Un jour plus sombre qu’un autre, un de ces jours qui portent l'homme à