Page:Desbordes-Valmore - Les Pleurs, 1834.djvu/127

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La vois-tu comme moi cette étoile brillante ?
Ressens-tu ma tristesse en regardant les cieux ?
Non, la nuit pour moi seule est rêveuse et brûlante,
Et seule j’y revois la douceur de tes yeux.

J’emportai vainement la fleur mystérieuse
Qui dut lier nos cœurs l’un de l’autre jaloux ;