Page:Desbordes-Valmore - Les Pleurs, 1834.djvu/137

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Eh ! pourquoi ces clameurs, cet effroi, ces prières ?
Va-t-il, pour me troubler, franchir quelques barrières ?
Songe-t-il si par lui mon sort fut triste… et doux ?
Si mon cœur est paisible, ou volage, ou jaloux ?
Jamais de sa couronne une feuille légère
Cherche-t-elle ma vie à sa vie étrangère ?
Son nom seul fugitif et parfois caressant,
Porté vers l’avenir, me salue en passant :