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Que ton cœur prenne ma défense,
Passant de mon dernier séjour ;
Je mourus sans rendre une offense ;
Mon sort fut une longue enfance,
Et ma pensée un long amour !
Que ton cœur prenne ma défense,
Passant de mon dernier séjour ;
Je mourus sans rendre une offense ;
Mon sort fut une longue enfance,
Et ma pensée un long amour !