Page:Desbordes-Valmore - Les Pleurs, 1834.djvu/281

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Qui me rendra ce jour où la vie a des ailes
Et vole, vole ainsi que l’alouette aux cieux,
Lorsque tant de clarté passe devant ses yeux,
Qu’elle tombe éblouie au fond des fleurs, de celles
Qui parfument son nid, son ame, son sommeil,
Et lustrent son plumage ardé par le soleil !