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Mon cœur battait à peine et vous l’avez formé ;
Vos mains ont dénoué le fil de ma pensée,
Madame ! et votre image est à jamais tracée
Sur les jours de l’enfant que vous avez aimé !
Mon cœur battait à peine et vous l’avez formé ;
Vos mains ont dénoué le fil de ma pensée,
Madame ! et votre image est à jamais tracée
Sur les jours de l’enfant que vous avez aimé !