Cette page a été validée par deux contributeurs.
LA MÈRE À SON FILS.
Quand j’ai grondé mon fils je me cache et je pleure.
Qui suis-je, pour punir, moi, roseau devant Dieu ;
Pour devancer le temps qui nous gronde à toute heure,
Et crie à tous : prends garde ; il faudra dire adieu !
Mourir avec le poids d’une parole amère ;
D’une larme d’enfant que l’on a fait couler ;