1 14 Correspondance. n, 497 .
fe meuuent pas d'elles-mefmes, doiuent auoir plus de force au commencement, qu'elles n'ont incontinent après*. le fuis,
Mon R. P. Voflre tres-humble, et très- obéi ffant ferai teur,
DESCARTES.
Page 108, 1. 5. — Mersenne semble avoir mal reproduit, en écrivant à Descartes, ce que Beeckman lui avait dit dans sa lettre du i er octobre 1629 (Bibl. Nat. fr. n. a. 6206, f° 32 v°). « Dices sextam minorem a tertia ma- » jore et tertiam minorem idem pati a sexta majore ; verùm non tanta » bonitatis ditferentia : 12' enim ictu quarto, ter unitur, quinta qua- » ter, etc. »
Page 109, l.io. — Beeckman (ibid. f» 33 v°) avait écrit à Mersenne: « Causa vocis auditae est idem ille numéro aer qui erat in ore loquentis, » non, vt vulgo putatur, vicissitudo sphœralis motûs in aère quem cir- » culis ex proiecto in aquam lapide factis assimulant. » Il avait également soutenu la même opinion devant Gassend, lorsque celui-ci le visita à Dordrecht, pendant l'été de 1629. Voir p. 45 des Mathematico-Physica- rum Meditationum, Qucestionum, Solutionum Centuria d'Isaac Beeckman, Utrecht, 1644.
Page 10, i- 27. — Comme Beeckman, dans une lettre antérieure à Mer- senne, avait cité un passage du Compendium musicce de Descartes, le Minime se demandait sans doute si ce que le recteur du collège de Dor- drecht lui avait écrit le i er octobre 1629 sur la Musique provenait égale- ment de la même source. Descartes proteste : il s'agit probablement des phrases de Beeckman indiquées ci-après.
Page m, 1. 14. — Beeckman à Mersenne, lettre précitée du 1" octobre 1629 (f° 33) : « Rogas an existimem etiam in campanis, tubis, etc., » recursus esse. Respondeo nullum sonum absque iis fieri posse, ideoque » campanas, dum sonant, non tremere totas, qui tremor sonitum nullum » aut exiguum saltem edit, sed partes campanas vicissim introrsum et » extrorsum extuberare, ac sonum durare quamdiu particulae ita » mouentur. »
Page iii,1. 3i. — (Tbid.) « Chordam nimis tensam frangi semper circa >» alterutrum extremum, mihi non videtur mirum; iis enim locis quibus » affigitur altéra tantum parte fit extensio, in medio vero hiatus vtrinque » compensatur; cumque vis vbique sit cequalis, sequitur hiatum aut » poros prope extrema esse duplices ad poros in medio chordœ. »
Page 113,1.4. — La découverte des taches du Soleil et de leur mouve- ment avait été successivement publiée : vers l'automne de 161 1, par Jean
�� �