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Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, I.djvu/591

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h, 5a. XCVII bis. — Fin Décembre 16^7. 477

memini me in refponfione ad xi obiedionem Domini Fromondi fufe fcripfiïTe a. Laetabor fi Iefuita ille b, cui librum commendaili, aliquid fcribat ; nihil enim nifi valde excodum ab hominibus illius Societatis facile exibit, &quo fortiores obiediones proponentur, tanto gratiores mihi erunt. Ideoque etiam tuas de motu cordis c auide expedo. Et fum, &c[1].

20 Decemb. 16^ 7.

XCVII bis.
Descartes a Mersenne.
[Fin décembre 1637 ? ]
Texte de Clerselier, tome III, lettre 73 fin, p. 427-429.

Voir plus haut, p. 389, l’argument de la Lettre LXXXII, où nous avons déjà signalé les difficultés relatives à la fixation de la date du présent fragment. En le plaçant avant la Lettre XCVIII, nous supposons que Descartes y répond à Mersenne, sur l’avis de l’envoi d’écrits de Fermat concernant les maxima et minima, ainsi que les lieux plans ; cet envoi n’est pas encore parvenu, et Descartes se soucie peu de recevoir, en outre, immédiatement la réplique de Fermat à sa Lettre XCI. Quand il a vu l’écrit de maximis et minimis, il change d’avis, et (voir ci-après Lettre XCVIII, p. 484, l. 3-7) réclame la réplique en question que dès lors Mersenne lui adresse par la poste, le 12 février 1638. — Mais on peut, au contraire, interpréter le passage précité de la Lettre XCVIII, comme si, au moment où il l’écrivait, Descartes ignorait encore que Mersenne eût entre les mains la réplique de Fermat (la Lettre XCVI). Dans ce cas, le présent frag-

  1. a. Voir plus haut, p. 422-424. b. Le P. Ciermans. Voir plus haut, p. 402, éclaircissement. c. Lettre C ci-après, janvier 1 638.