Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, II.djvu/386

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

j ^ 2 Correspondance. i, 347.

fort rare, & vaut bien la peine que vous tâchiez d'en auoir la communication. le fuis,

��CXLII.

Descartes a Mersenne. 12 septembre i638.

Autographe, Bibliothèque de l'Institut.

Variantes de Clerselier, tome I, lettre LXXIV, p. 34^-354, qui donne comme titre : Lettre de M. Descartes au Reuerend Père Mer- senne, du 12 Septembre i638, pour démonstration du principe suposé cy-dessus (c'est-à-dire dans la lettre CXXIX ci-avant, p. 228). — L'auto^aphe était le n" ij de la collection La Hire, {11) du classement de dom Poirier.

Mon Reuerend Père,

le penfois différer encore 8 ou i ^ iours a vous efcrire, afïin de ne vous importuner pas trop fouuant 5 de mes lettres : mais ie vien de receuoir voflre der- nière du I" fept., laquelle m'apprent qu'on fait dif- ficulté d'admettre le principe que i'ay fuppofé en mon examen de la queflion Geoflatique ; & pourceque, s'il n'efloit pas vray, tout le refle que i'en ay déduit le 10 feroit encore moins, ie ne veux pas attendre vn feul iour a vous en enuoyer vne plus particulière expli- cation.

Il faut fur tout confiderer que i'ay parlé de la force qui fert pour leuer vn poids a quelque hauteur, la- i5

4 : 8 ou 1 5] huit ou quinze. — 7 : i" fept.] premier Septembre.

�� �